Type XVI
Cette épée médiévale classique du 14e siècle a été reproduit maintes fois dans le monde moderne. Le design de cette épée est basée sur l’épée Médiévale Chevaleresque, celle-ci est classifiée de type XVI et présente certaines caractéristiques uniques. Ce type fut inventé afin de contrecarrer les armures en plaques du début du 14e siècle. Avec une lame aiguisée, une large partie supérieur et une extrémité très pointue, cette épée médiévale livrait de dévastateurs coups tranchants mais son bout pointu était la meilleure réponse possible à ces armures et permettaient à cette épée d’être une arme de pénétration.
L’épée prête pour le combat de Type XVI est difficile à distinguer de celles du Type XIV, mais la partie inférieure se finit presque tout le temps en forme de diamant et d’une croix – bien plus que celles de Type XIV. Ceci permettait d’avoir à la fois un point de pénétration rigide tout en permettant à la lame de garder son côté tranchant. La lame de l’épée possède un creux distinct sur plus de la moitié de la lame. A propos des épées de combat de Type XVI, Ewart Oakeshott écrit :
La chose la plus frappante à propos de ces épées, c’est qu’elles ont clairement été conçue afin d’avoir deux buts, celui de couper et de transpercer. L’extrémité de cette lame, est suffisament pointue pour transpercer les armures en plaques. La Lame étant épaisse au niveau du ‘centre de percussion’ ou au ‘point optimal de frappe’ pour permettre à l’épée de délivrer de très puissants coups lorsque l’utilisateur dégainait son épée.
– Ewart Oakeshott ‘L’épée au Temps de la Chevalerie. P, 61’**.
En plus de la lame légèrement creusée et de la garde incurvée relativement basique, cette épée médiévale du 14e Siècle a une inscription intéressante sur le pommeau. On y retrouve une inscription en Latin « Mai vos ostendo bonitatis, sinceritatis et clementia ad vestri inimicatus et omne vivum entis. » Traduit « Montrez honneur, intégrité et compassion pour vos ennemis et toutes formes de vies ». Un réel idéal chevaleresque pour un chevalier et un memento pour nous aux temps modernes.
**Froissard explique deux moments où il a été témoin d’épée pénétrant l’armure en plaques. Dans un écrit où il raconte un incident durant une poursuite après la bataille de Poitiers en 1356, Froissard explique que « Lorsque le Seigneur de Berkeley poursuivit pendant un moment, John de Hellenes, ce dernier se retourna, mit son arme d’une manière d’une lance, et avança vers son adversaire, qui lui prenait son arme par le manche, la brandis et souleva son bras afin de frapper l’écuyer qui avançait . John de Hellenes qui vu le coup partir, l’évita mais ne manqua pas le sien. Lorsqu’ils se dépassèrent, d’un coup sur le bras, il fit tomber l’épée du Seigneur de Berkeley au sol. Lorsque le Chevalier vit qu’il avait perdu son épée et que l’écuyer avait garder la sienne, il descendu de sa monture et alla chercher son épée la ou elle était tombée. Mais avant qu’il ne pu la récupérer, l’écuyer lui assena un violent coup transperçant ses deux jambes le faisant tomber au sol . »
Lame: Acier à haut teneur en carbone. Dureté Rockwell 60
48-50 au coeur
Garde et Pommeau : Acier doux
Longueur Totale: 34.5 ”
Longueur Lame: 27.5″
Largeur Lame: 2.8″
Poids: 1.10 kilos
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